m3 et les maïs fourrage Pioneer

Pour conjuguer performance au champ et à l'auge, et viser l'autonomie alimentaire

m3 et les maÏs fourrage pioneer

L’autonomie alimentaire, plus que jamais d’actualité

Pour sécuriser l’alimentation du troupeau et éviter les achats de compléments, tous les leviers doivent être actionnés. Parmi eux, l’utilisation d’un maïs fourrage Pioneer qui apporte un aliment adapté à la ration. Autre levier stratégique : l'ajout d’un inoculant, sur les ensilages d’herbe et de maïs, qui préserve les qualités des fourrages.

Conjuguer amidon et fibre

De l'amidon oui, mais pas vitreux !

Pour compléter la part d’herbe, l’ensilage de maïs reste une valeur sûre. Le calcul de la ration s’appuie alors sur la quantité d’amidon disponible. Objectif : avoir un maximum d’amidon pour acheter le moins de concentrés possible. Mais pas n’importe lequel ! En effet, plus l'amidon est vitreux, moins il est digestible par l'animal : ce qui induit un gaspillage, une perte d’énergie et, au final, de productivité. C’est pourquoi Pioneer a sélectionné des hybrides qui produisent un grain rempli d’amidon farineux, bien plus digestible.

Piloter l’amidon à la parcelle

Dans cette stratégie d’autonomie alimentaire, les hybrides fourrage Pioneer trouvent toute leur place parmi les fourrages de la ration, grâce à un taux d’amidon qui se pilote à la parcelle. Car à son un épi flexible, le maïs denté farineux s’adapte : lorsque les conditions sont bonnes, les épis sont plus gros avec des taux d’amidon importants. La densité permet ainsi de piloter l’amidon. Plus la densité est faible, plus l’épi est gros et le taux d’amidon important.

Amidon ou fibre ? Plus besoin de choisir entre les 2 !

Outre cette flexibilité de l’épi, m3 et les maïs fourrage Pioneer apportent des fibres très digestibles, qui évitent de devoir faire un choix entre fibres et amidon. Ce maïs présente en plus une bonne stabilité de rendement et un bon développement racinaire en conditions froides.

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Les hybrides m3

Élevages laitiers

 

Dominique Tristant, Directeur de la ferme expérimentale de Grignon (78) - Troupeau laitier

 

« Sur notre ferme expérimentale, nous avons adopté une stratégie 100 % denté dès 2016, soit 50 ha de maïs m3 pour nos 200 Prim’Holstein. L’intérêt du maïs denté est de récolter plus tard, environ 15 jours chez nous, pour accumuler plus d’amidon en fin de cycle. Cette stratégie d’accumulation peut aussi avoir un intérêt pour les éleveurs ayant l’habitude de semer plus que leurs besoins moyens en maïs, pour vendre du grain ou de l’épi. Nos essais agronomiques montrent qu’on accumule facilement 1 à 2,5 tonnes, sur une même gamme de précocité par rapport à un maïs corné de référence, et avec une teneur en amidon supérieure. On remarque bien le potentiel de digestibilité du denté lors de l’ouverture du silo, où l’on trouve moins de grains dans les bouses. »

Élevages allaitants

 

Jérémy Douhay, Responsable expérimentations à la Ferme de Jalogny (71)

 

« À l’issue de deux années d’essais, la variété de la gamme m3 ne révèle aucune difficulté d’usage pour l’engraissement de jeunes bovins. Les maïs dentés farineux permettent d’atteindre de très bonnes performances à l’hectare, même avec des plantes récoltées à 38 % de matière sèche. Avec le maïs m3, nous obtenons de très bonnes performances, la marge économique est améliorée, en allant chercher plus de potentiel au champ.»

Préserver la qualité des ensilages

Le rôle majeur des inoculants

L’amélioration de la ration se réalise aussi après récolte. La valorisation du fourrage passe par une bonne transformation dans le silo. L’ajout d’un inoculant sur les ensilages présente deux intérêts majeurs : il accélère la fermentation et réduit la perte de matière totale. Les bactéries favorisent la fermentation et acidifient le milieu, ce qui permet une meilleure conservation du fourrage.

Pour sécuriser les stocks, éviter les pertes et les achats de compléments, c’est une solution gagnante ! Plus les sucres sont consommés lors de la transformation, plus le fourrage perd de valeur. L’inoculant permet de protéger ces sucres mais aussi l’azote présent dans l’ensilage. En limitant la protéolyse, l’inoculant conserve davantage de protéines. Un avantage de taille dans une recherche d‘autonomie et d’indépendance vis-à-vis des marchés ! 

Inoculants d'ensilage et applicateurs

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